par Une randonneuse a été attaquée par un ours (peut-être un grizzly) mais elle a survécu malgré quelques blessures sérieuses.
Une randonneuse solitaire a été grièvement blessée par une attaque initialement attribuée à un grizzly le mardi 22 juillet 2025. La scène se déroule dans la région d’Anchorage, Alaska. Après avoir été attaquée et traînée hors du sentier, elle a réussi à appeler les secours malgré son incapacité à se déplacer. Une opération de sauvetage impliquant plusieurs agences, dont les pompiers, la police et les services de la faune, a permis de la localiser à l’aide de drones avant. Elle a ensuite été héliportée vers un hôpital local.
La victime a subi des blessures non mortelles à la tête, au cou et au bras. Elle est maintenant dans un état stable. Le grizzly responsable de l’attaque a fui, et les autorités poursuivent leurs recherches. Les spécialistes expliquent qu’il s’agit sans doute d’une attaque défensive, l’animal voulant probablement protéger ses petits ou réagissant à une surprise. S’il s’était agi d’une attaque prédatrice, la randonneuse ne serait plus de ce monde.
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L’incident rappelle les dangers inhérents aux randonnées dans les régions peuplées de grands prédateurs comme l’Alaska, où cohabitent ours noirs et grizzlis. Les autorités ont conseillé d’éviter la zone temporairement et rappellent les mesures essentielles à adopter : faire du bruit, randonner en groupe, porter un spray anti-ours ou des armes, et éviter tout comportement de fuite. Les attaques de grizzlis restent rares. Sur l’ensemble du continent nord-américain, on ne dénombre pas plus de 2 ou 3 attaques mortelles par an. A comparer avec les millions de visiteurs qui parcourent les sentiers sur les territoires des ours.
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